Au Québec, la Société des alcools du Québec (SAQ) a le monopole de la vente d’alcool distillé – et donc des boissons de format prêt-à-boire qui en contiennent. Les distillateurs veulent abolir ce monopole et souhaitent pouvoir vendre leurs boissons en canette autant à la SAQ que dans les épiceries et les dépanneurs.

La diffusion d’une émission sur la culture de lentilles canadiennes en France continue de faire des vagues. Cette fois, des produits dépassent les limites de résidus de pesticides permises et sont retirés du marché français.

Il n’y a pas que la SAQ qui doit s’adapter à nos changements de consommation d’alcool, les brasseurs aussi. Les ventes de bière ont diminué au Québec dans la dernière année, en magasin comme au restaurant. Parmi les causes possibles : le temps passé devant nos écrans qui nous éloigne de la brasserie. Et parfois même de nos amis.

L’émission française Sur le front vient de produire un épisode qui s’intéresse aux lentilles canadiennes. Le portrait n’est pas reluisant. Les agriculteurs français disent qu’ils font face à une concurrence déloyale puisque leurs collègues canadiens utilisent des pesticides interdits en Europe. Et il y en aurait des traces dans les lentilles qui se retrouvent sur leur marché.

L’importation de pistaches iraniennes est interdite au pays depuis un mois et demi, mais la contamination à la salmonellose qu’elles engendrent se poursuit. Voici pourquoi.

« On a moins entendu parler du boycottage durant la saison locale, mais il ne faut pas oublier une chose : l’administration américaine n’est pas silencieuse. On en entend parler tous les jours. Ils font les nouvelles, sortent des décisions incongrues et choquent les Canadiens. »

Le plus récent bilan des banques alimentaires québécoises publié lundi bat (tristement) de nouveaux records : les organismes soutenus par Moisson Montréal répondent à plus d’un million de demandes chaque mois, un seuil jamais atteint.

Les gens boivent différemment et la Société des alcools du Québec cherche par tous les moyens à maintenir ses ventes – et son niveau de redevances à l’État. Nous avons demandé à des gens du monde du vin, de l’alcool et de la restauration, mais aussi à des professeurs et des experts de milieux d’intérêt, de nous donner des idées originales pour la SAQ. En voici une douzaine.

Après des années où il a été soufflé par une forte inflation alimentaire, le coût d’une épicerie de base, qui contient des aliments sains, est demeuré relativement stable durant la dernière année. Il faut calculer 290 $ pour une famille de quatre personnes pour arriver à se nourrir sainement à Montréal.

Des pistaches contaminées ont été distribuées à travers le pays et se sont retrouvées dans de la crème glacée, du halva, des baklavas ou dans le fameux chocolat Dubaï. Les rappels d’aliments se multiplient ; les cas d’infection à la Salmonella aussi. Le point, en cinq questions.