Ça s’est passé ici, chez nous, à une époque pas si lointaine. Et pourtant, personne n’en parle. Rares sont ceux qui se souviennent. Avec Fille-mère, Ingrid Falaise souhaite libérer une parole trop longtemps étouffée.

Elle a passé sa vie à poser des questions, chercher à comprendre, et ouvrir les esprits. Et elle n’a pas fini. C’est une Janette Bertrand en grande forme qui revient s’asseoir ces jours-ci avec des interlocuteurs inédits : des jeunes.

Tout le monde se l’arrache depuis quelques jours. Un visage pas exactement inconnu vient de réapparaître dans les médias, pour parler d’un sujet sinon inattendu, du moins drôlement controversé : la prétendue innocuité des implants mammaires.

Pour ses 100 ans, Janette Bertrand nous offre un cours d’histoire. Pas n’importe laquelle : la nôtre. Notre histoire moins connue, encore moins racontée, des 100 dernières années. Soyez averti : ce ne sont pas les plus glorieuses, mais bien les plus sombres. Retour sur notre Grande Noirceur, et toute la grande misère qui en a découlé.

Informer sans sermonner, avec autant de rigueur que d’humour, c’est le pari audacieux que s’est donné Savoir média avec Hallucinant !, une série de 12 capsules éducatives sur l’alcool, le cannabis et d’autres drogues variées.

Il s’appelle Serge Rivard. Et il a embobiné, séduit et surtout arnaqué quantité de femmes, leur promettant monts, merveilles, châteaux et mariage. Une série documentaire revient sur l’enquête de la journaliste de Québecor Kathryne Lamontagne, qui a levé le voile sur ce sacré fraudeur amoureux.

Chaque année, c’est le même refrain, comme un coup de massue ou un dur lendemain de veille. Mais pourquoi diable est-ce si pénible de reprendre le collier, la routine, bref le train-train quotidien ? Est-ce que ce blues se soigne, docteur ? Mieux : est-ce que ça se guérit ?

Ça y est, l’été a filé. La fin de la récréation a sonné. Que vous ayez des enfants ou pas sous votre toit, l’arrivée de septembre sonne le glas d’une certaine légèreté. Pour plusieurs, ce retour brutal à la routine rime avec déprime. Et si on tentait d’y voir du bon, du doux, carrément du réconfortant ? Rien que pour vous, amis lecteurs en solide blues du dimanche, 10 raisons ludiques, quoiqu’éprouvées, d’aimer la rentrée, malgré cette fin annoncée du farniente.

C’est le sujet dont personne n’a trop envie d’entendre parler. Le thème angoissant de l’heure qu’on fait tous semblant d’ignorer. Et précisément la toile de fond du dernier film d’Anne Émond. À savoir : la crise climatique.

Mystérieux roman que voici, et ce, à plusieurs égards. D’abord, l’autrice, Laurence La Palme, signe sous un pseudonyme, et ce ne serait apparemment pas son premier. Premier roman ? Premier pseudonyme ? L’histoire ne le dit pas.