Nos dirigeants sont prompts à rayer les droits de ceux qui les dérangent, au gré de leurs humeurs.

Le projet de loi C-9 ouvre la porte à une définition qui pourrait varier au gré des gouvernements.

Il n’y aura pas de réelle souveraineté sans la maîtrise de nos espaces numériques.

Les lois doivent imposer aux géants du Web des devoirs d’agir contre les hypertrucages et les fraudes.

Sa défense exige de repenser les modes d’application des lois et autres interventions étatiques.

Est-il raisonnable de permettre à la police américaine d’obtenir des informations sur des personnes en sol canadien?

Le gouvernement hypothèque la souveraineté canadienne en se pliant aux injonctions de Trump.

L’insuffisance des outils techniques ne justifie pas de reléguer la protection des enfants au second plan.