Dans la quarantaine, personne ne s’attend à ce que son testament devienne réalité. Lorsque cela se produit et qu’on a le temps d’y réfléchir, le besoin de changer des éléments peut se manifester.

Lorsqu’on arrive à un certain âge, la maison où on a élevé sa famille peut paraître grande et son entretien, éreintant. Plusieurs pensent alors à vendre leur propriété et à acheter plus petit, ou à louer un appartement. Des options qui peuvent avoir une grande incidence sur la succession.

Certains s’inquiètent de ce qu’il restera à leur succession une fois que l’impôt sera payé au décès. Est-ce qu’acheter une propriété est une bonne solution pour léguer une plus grande somme ?

Moins nombreuses à s’engager en politique municipale, les femmes doivent encore lutter contre certains préjugés.

On prend sa retraite, on voyage, on y prend goût, on voyage encore. Mais est-ce qu’on peut se permettre de dépenser autant dans ses escapades sans mettre le confort de ses vieux jours à risque ? Dans certains cas, la stratégie de décaissement choisie peut faire toute la différence.

Puisque les prix des propriétés ont grandement augmenté au Québec dans les dernières années, il est de plus en plus difficile de devenir propriétaire. C’est encore pire lorsqu’on est un parent séparé avec un seul salaire pour acheter une propriété de plus d’une chambre. S’il est possible d’y arriver, cela demande une planification et une grande discipline… sans négliger d’épargner pour sa retraite !

La stratégie de décaissement qu’on adopte à sa retraite fait une grande différence, au bout du compte, sur sa situation financière. Tout de même, lorsqu’on travaille dans le système public, le fonds de retraite est un grand privilège qui devrait rassurer pratiquement quiconque a un coût de vie raisonnable.