Je ne pensais plus écrire sur les pourboires, jusqu’à ce que je reçoive un texto au sujet de mon sapin de Noël. On m’y confirmait le moment de la livraison en précisant que le pourboire était à ma discrétion. C’est ainsi que j’ai réalisé que l’on avait beaucoup débattu des pourcentages, de la manière de les présenter, de les calculer, mais très peu des questions de cohérence.

Coûte que coûte, il faut bien se nourrir. Malheureusement, le prix des aliments est devenu une source de préoccupation majeure pour beaucoup de monde, et ce n’est pas en 2026 que le stress s’estompera. La famille type paiera près de 1000 $ supplémentaires, prédit le toujours très attendu Rapport sur les prix alimentaires.

Aucune famille n’est à l’abri d’un conflit qui interrompt la communication entre certaines personnes. Si on arrive à s’en accommoder, les choses peuvent vite déraper après un décès. C’est arrivé à un Montréalais qui a dû entreprendre des démarches judiciaires pour avoir accès aux testaments de ses parents.

Quand on regarde les catalogues quasi infinis de Temu et Shein, remplis de produits à prix dérisoires, il est tentant de remplir son panier. Mais avant de cliquer pour acheter, mieux vaut savoir que certains colis cachent des produits dangereux ou toxiques.

Costco est le champion des formats géants qui se transforment parfois en achat insensé, parce qu’on est incapables de tout consommer à temps. Pensez à la barquette de mesclun à moitié mangé, mais déjà trop fripé. Ce gaspillage vous désole ? Il y a pire ! Si ça se trouve, chaque mois, 90 % de votre forfait cellulaire est payé dans le beurre.

Vous connaissez sans aucun doute la populaire rubrique Train de vie que nous publions chaque dimanche. Je l’ai utilisée pour faire une expérience fascinante au moyen de l’intelligence artificielle.

On l’a vu avec les concessionnaires auto, Ticketmaster, Uber Eats, Air Canada et beaucoup d’autres, les prix affichés en ligne sont parfois inférieurs à ceux qu’on doit réellement payer. Pourtant, cette pratique est interdite au Québec. Cette fois, 49 chaînes de restaurants très connues et majoritairement québécoises sont accusées d’y avoir recours.

Novembre, le ciel gris, la neige, le froid. On cherche les bonnes nouvelles économiques et un peu de lumière à travers les nuages. Ça tombe bien, des données positives viennent d’être publiées. Certains travailleurs n’y croiront pas, mais les salaires augmentent plus vite que l’inflation. Oui, le pouvoir d’achat des Québécois continue de s’améliorer.

Les plus riches, semble-t-il, n’auront plus besoin de se lever pour aller chercher le pot de moutarde dans le frigo ni de plier leurs vêtements. Un robot à 28 000 $ aux allures d’humain fera bientôt ces tâches pour eux. Pendant ce temps, les moins nantis continueront d’être toujours plus nombreux à fréquenter les banques alimentaires.

Je ne compte plus le nombre de fois où l’on m’a soumis des problèmes de consommation classiques. Une garantie juste un peu trop courte, un produit loin de remplir ses promesses, un commerçant qui fait la sourde oreille, un voyage qui vire en coûteux casse-tête. Beaucoup d’acheteurs sont démunis, ignorant quels sont leurs recours et comment les faire valoir. C’est normal, ça change constamment ! Mais dans la jungle du commerce moderne, mieux vaut connaître ses droits pour en avoir pour son argent. À l’approche du Vendredi fou et de la période de magasinage la plus intense de l’année, je vous propose donc un petit guide des protections à votre disposition.