Je me sens plus découragée que trahie. Fatiguée de ne pas voir le progrès qu’on pourrait voir naître.

Ah, on est bien pognés maintenant, comme des dindons, à faire la queue leu leu dans notre char.

Faire de la peur des gens son fonds de commerce est un choix, et je le comprends ; il est simple et payant.

Il devrait y avoir un plafond. Un clapet. Une carte que tu reçois à ton premier milliard.

Un bel exemple de flou mou de centrisme au gruau qui essaie de plaire à tout le monde en même temps.

Maudit qu’on n’est pas bons à se rendre compte de notre richesse.

Le hockey, ça devrait être comme la santé, les plus riches payent pour que les plus pauvres y aient aussi accès.

Ce monde aurait tout ce qu’il faut pour être un paradis, et on dirait qu’on s’obstine à en faire un enfer

Heureusement qu’il y a un paquet d’hommes que ça n’intéresse plus comme ligne de conduite.

Le populisme viendra-t-il bêtement récupérer la peur et la grogne dont vous avez été le paratonnerre?