L’entreprise First Phosphate s’engage dans la dernière étape en vue de l’exploitation d’une mine de phosphate igné à sa propriété de Bégin-Lamarche, à 70 kilomètres au nord de Saguenay.

Rares sont ceux qui ont obtenu du succès sans commettre quelques erreurs au passage. L’important, c’est d’en tirer des leçons. Des entrepreneurs et des gestionnaires de haut niveau nous confient celle qu’ils ont tirée d’une erreur du passé. Aujourd’hui, Mélanie Robitaille, vice-présidente et directrice générale du promoteur immobilier Rachel Julien.

L’économie canadienne pourrait réaliser des gains d’efficacité importants au cours des dix prochaines années si les entreprises adaptent leurs activités aux grandes mégatendances universelles qui se dessinent à l’échelle mondiale, notamment dans les domaines des technologies, de l’exploitation minière et de la défense.

Les Montréalais vont devoir se choisir un nouveau maire le 2 novembre prochain, Isabelle Dessureault, la présidente et cheffe de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, souhaite que ces élections permettent à la grande région de Montréal de retrouver son ambition d’antan et de profiter d’un climat favorable pour y faire des affaires.

Si les conflits de travail ont atteint des niveaux records au Québec en 2024 et qu’ils continuent de faire les manchettes en 2025, les tensions entre certains éléments extrémistes des grandes centrales syndicales et le monde patronal ont atteint des niveaux d’acrimonie qu’on n’avait pas vus depuis le début des années 1970, alors que le militantisme syndical était pourtant à son apogée au Québec.

Mark Carney nous avait prévenus et Donald Trump l’avait aussi clairement évoqué, il aurait été fort surprenant que le Canada arrive à conclure une entente commerciale avec les États-Unis avant l’échéance du 1er août imposée par l’intempestif président américain. Et maintenant, à quoi faut-il s’attendre, quelle sera la suite de ce pénible psychodrame commercial ?

Plus Donald Trump conclut de nouveaux accords avec des partenaires commerciaux importants des États-Unis et plus la signature d’une pareille entente avec le Canada d’ici la date butoir du 1er août semble devenir improbable tellement les demandes américaines sont arbitrairement élevées et les concessions, inexistantes.

Si les entreprises québécoises veulent davantage faire des affaires en France, elles doivent nécessairement chercher à devenir d’abord partenaires d’une entreprise française présente au Québec, estime Henri-Paul Rousseau, délégué général du Québec à Paris, parce que, selon lui, l’intensification des relations économiques passe par un plus grand partenariat entre les sociétés des deux pays.

Benoît Schultz, PDG d’Airbus Canada, a travaillé fort durant les dernières semaines et pendant toute la durée du Salon du Bourget pour « faire de ce salon le salon de l’A220 ». Un pari qu’il a réussi en partie parce que l’ancienne C Series a décroché une des importantes commandes de la famille Airbus durant l’évènement et que d’autres annonces auraient pu se matérialiser.

Les entreprises de l’aéronautique du Québec qui sont actives dans le secteur militaire sont essentiellement des entreprises à vocation mixte, c’est leur expertise dans le domaine commercial qui leur a permis de développer de nouvelles plateformes dérivées pour le secteur de la défense. Au Bourget, ces entreprises sont sur le pied de guerre.