Lignes par page
Cyberviolence sexuelle | Gare aux services de messagerie prisés des jeunes C’est sur des services de messagerie comme Messenger ou WhatsApp que les jeunes
Canadiens courent le plus de risque d’être victimes d’exploitation sexuelle,
révèle une étude du Centre canadien de protection de l’enfance (CCPE), qui
réclame une modernisation de la loi. Le rapport déplore aussi les difficultés
qu’ont les victimes de faire retirer leurs images par les plateformes web et
l’utilisation de l’intelligence artificielle pour créer de faux nus. | ||
Ex-placés de la DPJ | Des jeunes sans diplôme et dans la rue Près de 40 % des ex-placés de la DPJ abandonnent l’école à 18 ans. Et à peine un
sur quatre réussira à finir le secondaire avant l’âge de 23 ans, révèle une
étude obtenue par La Presse. Pour nombre d’entre eux, le manque de scolarité est
aussi synonyme d’itinérance. | ||
Pédopornographie | Des millions d’images trouvées sur le dark web 2,8 millions. C’est le nombre de photos et de vidéos d’enfants exploités
sexuellement qui ont été repérées sur le dark web par le Centre canadien de
protection de l’enfance (CCPE) depuis 2017. Et malgré de nombreuses alertes
lancées par l’organisme, tout porte à croire qu’elles y resteront. | ||
Partie joindre l’État islamique | Une Montréalaise coupable de terrorisme Elle est partie en Syrie à peine sortie de l’adolescence pour « devenir mère au
sein de l’État islamique ». Puis elle a passé cinq ans dans un camp de détention
kurde, où elle a élevé ses deux filles nées dans la guerre. Rapatriée en 2022,
une Montréalaise vient d’être condamnée pour terrorisme. | ||
Volonté de créer une milice antigouvernementale | Des soldats canadiens arrêtés et accusés de terrorisme Des membres de l’armée canadienne ont été arrêtés et accusés de terrorisme, a
annoncé mardi matin la Gendarmerie royale du Canada (GRC). | ||
Quatre hommes liés à l’armée | Accusés pour un complot terroriste à Québec Quatre Québécois, dont deux membres actifs de l’armée canadienne, voulaient
créer une zone de non-droit en s’emparant par la force d’un territoire près de
la ville de Québec. Ils ont été accusés de terrorisme et de possession d’armes,
d’explosifs et de dispositifs prohibés. | ||
Volonté de créer une milice antigouvernementale | Les soldats canadiens accusés de terrorisme devant le tribunal Quatre Québécois, dont deux membres actifs de l’armée canadienne, voulaient
créer une zone de non-droit en s’emparant par la force d’un territoire près de
la ville de Québec. Ils ont été accusés de terrorisme et de possession d’armes,
d’explosifs et de dispositifs prohibés. |