Avec ses quatre Félix reçus dimanche soir, Lou-Adriane Cassidy a non seulement fait passer sa récolte de la semaine à 12 statuettes, mais elle est repartie du 47e Gala de l’ADISQ avec une des plus spectaculaires razzias de l’histoire de l’évènement.

Depuis sa première tournée, Pierre-Yves Roy-Desmarais est devenu père. L’occasion de se poser une question existentielle ou deux. Ou douze. Ou mille. La Presse a assisté à la dernière date de rodage de son nouveau spectacle, Une année en un an.

Dans Délivrez-moi de nulle part (Deliver Me From Nowhere), Jeremy Allen White déconstruit une figure mythique en l’incarnant au pire d’une crise existentielle qui a failli l’engloutir. Rencontre avec les artisans d’un film qui rend encore plus humain le plus humain des rockeurs.

Le 12e album de Taylor Swift s’intitule The Life of a Showgirl, mais ce n’est pas sous les projecteurs que nous convie la star, mais plutôt au cœur du paisible bonheur amoureux auquel lui permet enfin de goûter son fiancé.

Si la vie de Katia Daraîche était une chanson country, les couplets en seraient tragiques, mais le refrain, irrévocablement joyeux. Rencontre avec une famille qui n’a jamais cessé de croire qu’il y avait un soleil derrière les nuages.

Pour le légendaire animateur canadien George Stroumboulopoulos, l’important, c’est que les autres se sentent bien. Conversation sur le passé et l’avenir des médias avec un vrai fin.

Dans la série balado Juste entre toi et moi, des artistes ouvrent les portes de leurs souvenirs, de leurs réflexions et de leurs rêves, le temps d’un entretien sans presse.

« Le groove a toujours été important pour les Montréalais », observe Gino Vannelli en tentant d’expliquer l’heureuse influence de sa ville natale sur sa conception de la musique. À l’occasion de l’annonce ce mardi de son intronisation au Panthéon des auteurs et compositeurs canadiens, rare entretien avec un esprit libre pour qui l’essentiel, ce sont les questions.

Ils étaient loin, mais ils étaient là. Comme lors de chacun de leurs spectacles depuis Cardiff le 5 juillet dernier, Liam et Noel Gallagher sont arrivés main dans la main, leur doigt d’honneur à tous ces prophètes de malheur qui, depuis de l’annonce de leur réconciliation, leur prédisait une dispute imminente. L’air était juste assez frais dimanche soir, le riff assassin de Fuckin’in the Bushes résonnait fort dans le Rogers Stadium et ce qui appartenait jusqu’à tout récemment au monde de la pure fiction devenait soudainement possible.

Ils étaient loin, mais ils étaient là. Comme lors de chacun de leurs spectacles depuis Cardiff le 5 juillet dernier, Liam et Noel Gallagher sont arrivés main dans la main, leur doigt d’honneur à tous ces prophètes de malheur qui, depuis de l’annonce de leur réconciliation, leur prédisait une dispute imminente. L’air était juste assez frais dimanche soir, le riff assassin de Fuckin’in the Bushes résonnait fort dans le Rogers Stadium et ce qui appartenait jusqu’à tout récemment au monde de la pure fiction devenait soudainement possible.