Les lecteurs qui nous écrivent pour un scénario de planification de retraite ont souvent un fonds de retraite avec leur employeur. Ce n’est pas le cas de Marcel*, un peintre en bâtiment qui pratique comme travailleur autonome et qui compte prendre sa retraite d’ici la fin de l’année.

La présentation au début d’octobre d’un nouveau calculateur de prestations du Régime de rentes du Québec (RRQ) a poussé plusieurs d’entre vous à nous envoyer des questions concernant ce programme. L’actuaire en chef du RRQ nous a accordé une entrevue pour nous aider à y répondre.

Après avoir divorcé puis vendu sa maison, Anthony* se retrouve avec une jolie somme à placer. Mais sa nouvelle situation vient aussi avec plusieurs défis pour le père de deux enfants, dont l’incertitude quant à l’évolution de sa situation personnelle dans les prochaines années. Quelle stratégie devrait-il adopter pour bien utiliser son argent ?

Trois ans après que l’intelligence artificielle générative a été rendue accessible au grand public, notamment grâce à l’outil ChatGPT, une partie importante des Québécois s’en servent pour s’informer sur la gestion des finances personnelles.

Une machine qui puise dans un corpus d’informations déjà existantes peut-elle réellement nous aider à être plus créatifs au travail ? Il semble que plus les outils d’intelligence artificielle se raffinent, plus la réponse tend vers le oui.

Imaginez une scène sur laquelle 12 participants sont assis devant un ordinateur, en train de manœuvrer à toute vitesse dans des chiffriers Microsoft Excel. Devant eux, de grands écrans retransmettent leurs prouesses, pendant que des commentateurs s’assurent que le public ne manque rien de ce qui se passe.

L’entrepôt d’Ameublements Tanguay situé dans l’est de Montréal fermera ses portes dans deux mois, ce qui entraînera une perte d’emploi pour 140 travailleurs, selon le syndicat qui les représente.

À combien s’élèveront vos prestations du Régime de rentes du Québec (RRQ) une fois que vous serez à la retraite ? Un nouvel outil de simulation développé par des chercheurs permet de mieux comprendre les sommes qui nous seront versées, ainsi que l’impact de chaque cotisation additionnelle.

Le remboursement partiel de TVQ à l’achat d’une maison neuve est tellement peu réclamé que c’est presque comme si cette mesure fiscale québécoise n’existait plus. Le gouvernement préfère favoriser d’autres méthodes pour améliorer l’accès à la propriété.